Patrick Simon |
Organisateur à cette époque de voyages aériens, installé à Marrakech, cherchant de nouveaux horizons de tourisme découverte, nous trouvions sur d’anciennes cartes au 100.000ème l’existence d’anciennes pistes d’atterrissage à Tata et Foum Zguid. Venant par la route pour effectuer les repérages par Taroudant, je découvrais les beautés et splendeurs de l’Anti Atlas et du Jbel Bani.
A l’arrivée sur Tata, à la sortie d’un virage à l’entrée de la ville, mon regard fut attiré en premier par ces constructions dominant la palmeraie de Tata :
- c’était Douar Indfiane !
Ce fut notre première rencontre. Avant de nous rendre en ville, nous devions visiter ce lieu ! Poussant la porte d’entrée nous nous engagions dans ces couloirs pour découvrir cette ruine. Nous découvrions le patio avec ses arcs. Poussant une deuxième porte nous étions accueillis par le regard d’une vache mâchant sa luzerne au sein d’un deuxième patio. De part et d’autre nous entendions les bruits de bêtes apeurées, chèvres et moutons étaient les uns dans la cour inférieure, les autres dans les pièces du haut.
Les volumes, les couloirs, ces murs de terre, de pierres, ces patios sous un ciel bleu azur, bien qu’en ruine cette bâtisse me ravissait par l’histoire et vibrations qu’elle dégageait.
Par cette simple et première visite je savais déjà, sans encore vraiment le percevoir que naitrait Dar Infiane !
à suivre….
Patrick Simon
Les volumes, les couloirs, ces murs de terre, de pierres, ces patios sous un ciel bleu azur, bien qu’en ruine cette bâtisse me ravissait par l’histoire et vibrations qu’elle dégageait.
Par cette simple et première visite je savais déjà, sans encore vraiment le percevoir que naitrait Dar Infiane !
à suivre….
Patrick Simon